Selon les premiers éléments de l’enquête, la victime devait 200 FCFA à un jeune de son quartier.La discussion aurait rapidement dégénéré : le présumé meurtrier, identifié comme M. Fall, un apprenti-carreleur de 16 ans, aurait menacé Pape Ndiaga Sall avant de quitter les lieux pour aller chercher un couteau. À son retour, il a porté un coup fatal dans le dos de l’adolescent, qui est mort sur place.
Le suspect s’était enfui après le drame, mais a été interpellé le lendemain matin grâce à la collaboration de sa famille avec les forces de l’ordre.
Lors de son interrogatoire, il a reconnu les faits, précisant que la victime l’aurait insulté lors de la réclamation de son argent.
Le corps de Pape Ndiaga Sall a été placé à la morgue pour autopsie, tandis que le procureur de la République a été saisi de l’affaire.
L’enquête se poursuit pour déterminer toutes les circonstances du drame.
Ce meurtre, pour une somme aussi minime, a suscité une vive émotion dans le quartier et au-delà.
Les habitants dénoncent un passage à l’acte extrême qui pourrait avoir été évité. Pour beaucoup, cette tragédie met en lumière la vulnérabilité des jeunes, les problèmes de socialisation, et l’urgence de renforcer l’encadrement et la prévention contre la violence juvénile.
Face à de tels faits, les autorités locales et les associations de jeunesse sont appelées à renforcer la sensibilisation, l’éducation et l’accompagnement des jeunes afin d’éviter que de simples disputes ne se transforment en drames irréversibles.
Le suspect s’était enfui après le drame, mais a été interpellé le lendemain matin grâce à la collaboration de sa famille avec les forces de l’ordre.
Lors de son interrogatoire, il a reconnu les faits, précisant que la victime l’aurait insulté lors de la réclamation de son argent.
Le corps de Pape Ndiaga Sall a été placé à la morgue pour autopsie, tandis que le procureur de la République a été saisi de l’affaire.
L’enquête se poursuit pour déterminer toutes les circonstances du drame.
Ce meurtre, pour une somme aussi minime, a suscité une vive émotion dans le quartier et au-delà.
Les habitants dénoncent un passage à l’acte extrême qui pourrait avoir été évité. Pour beaucoup, cette tragédie met en lumière la vulnérabilité des jeunes, les problèmes de socialisation, et l’urgence de renforcer l’encadrement et la prévention contre la violence juvénile.
Face à de tels faits, les autorités locales et les associations de jeunesse sont appelées à renforcer la sensibilisation, l’éducation et l’accompagnement des jeunes afin d’éviter que de simples disputes ne se transforment en drames irréversibles.











